Hunter semble mener une vie parfaite aux côtés de Richie, son mari qui vient de reprendre la direction de l’entreprise familiale. Mais dès lors qu’elle tombe enceinte, elle développe un trouble compulsif du comportement alimentaire, le Pica, caractérisé par l’ingestion d’objets divers. Son époux et sa belle-famille décident alors de contrôler ses moindres faits et gestes pour éviter le pire : qu’elle ne porte atteinte à la lignée des Conrad… Mais cette étrange et incontrôlable obsession ne cacherait-elle pas un secret plus terrible encore ?
"Swallow" est un trésor d’une richesse inépuisable.
- La septième ObsessionUn récit d'angoisse domestique à l'implacable mécanique de dérèglement qui impressionne durablement par la capacité qu'a sa mise en scène à suspendre le temps
- Focus VifLa révolte silencieuse d'une femme. Original et saisissant.
- Le Soir"Un premier long métrage indépendant américain percutant et ouvertement féministe."
- La LibreUn thriller captivant. Hitchcock aurait apprécié!
- TeleproOn a rarement vu aussi ardente parabole sur la liberté des femmes à disposer de leur corps.
- La Voix du NordAvec son premier long-métrage, Carlo Mirabella-Davis livre une œuvre originale et piquante, très justement récompensée d’un prix spécial au Festival du cinéma américain de Deauville.
- Le FigaroEn filmant Haley Bennett, Carlo MirabellaDavis rend hommage aux grands rôles féminins du passé, et amorce audacieusement un nouveau chemin.
- Le MondeAvec sa mise en scène au cordeau et son scénario surprenant, "Swallow" s'impose comme une expérience pour le moins atypique.
- L'Express"Swallow" bifurque et étonne, décidant de privilégier la convulsion de vie à l’arty, la logique du récit aux quatre épingles du costume bien taillé, et l’humour décalé aux irritations intestines.
- LibérationÉtrange pathologie, que Carlo Mirabella-Davis, pour ses débuts dans le long métrage, filme avec une belle étrangeté.
- PositifUn ovni aux teintes rétro et pastel où affleure la mainmise asphyxiante du patriarcat.
- Marie Claire