En l'absence de sa sœur Rim, que faisait Yasmina dans un parking avec Salim et Majid, leurs petits copains ? Si Rim ne sait rien, c'est parce que Yasmina fait tout pour qu'elle ne l'apprenne pas. Quoi donc ? L’inavouable… le pire… la honte XXL, le tout immortalisé par Salim dans une vidéo potentiellement très volatile.
Une comédie culottée et positive.
- VoiciUne comédie d'auteur qui nous immerge crûment dans les mœurs des ados des cités françaises actuelles
- L'AvenirSur le principe de l'arroseur arrosé saisi en pleine ère du
mouvement #MeToo, Desrosières réactualise le marivaudage à la française, saisit l'air du temps et assume une libération de la parole cash, qui bouscule, qui choque, qui dérange.
Un jour quelqu’un va dire peut-être, parce que du temps aura passé, qu’"À genoux les gars" est un des plus beaux portraits de la France de la fin des années 2010.
- LibérationQuel bonheur et quelle pétillance dans ce quatrième long-métrage d’Antoine Desrosières ! On peut prédire que cette salutaire et décomplexée absence d’hypocrisie, bourrée d’énergie, d’humour et de pertinence, parlera comme jamais aux jeunes générations des cités.
- Le ParisienD'une crudité rare à l'écran, "À genoux les gars" lève le voile sur la sexualité des adolescent(e)s avec une belle énergie.
- PositifCannes Un Certain Regard